Réchauffement climatique : définition, enjeux, causes, solutions

Mis à jour le par Equipe Rédaction

Des 20 années les plus chaudes, 19 ont eu lieu depuis 2000, et la température moyenne de la planète a augmenté de 0,95 à 1,20°C depuis la fin du 19ème siècle. Nous nous rapprochons donc dangereusement de l’augmentation de 2°C par rapport aux niveaux pré-industrialisés, seuil qui marquerait, d’après les experts, un point de non-retour pour l’environnement. Difficile, aujourd’hui, d’ignorer que le réchauffement climatique progresse inexorablement. Le point sur la plus grande menace environnementale de notre siècle.

Réchauffement climatique : définition, enjeux, causes, solutions

C’est quoi, au juste, le réchauffement climatique ?

On désigne par le terme de « réchauffement climatique » un phénomène global de transformation du climat qui se caractérise par une augmentation générale des températures moyennes. Le réchauffement climatique impacte donc en profondeur les écosystèmes, et modifie durablement les équilibres météorologiques.

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En quoi les activités humaines perturbent le climat ?

La terre, il est vrai, a connu, au cours de son histoire une alternance entre des épisodes de réchauffement, et à l’inverse, d’ères glaciaires 🥶, des évolutions d’origine naturelle qui font partie de son histoire paléoclimatique et géologique. Mais le réchauffement climatique que nous connaissons aujourd’hui se distingue de ces derniers en raison du caractère anthropique de son origine, et de la grande rapidité de sa progression : c’est du fait d’une amplification de l’effet de serre provoquée par les activités humaines que nous déplorons une augmentation des températures, phénomène qui trouve ainsi son origine dans l’industrialisation de nos sociétés et dans les émissions de gaz à effet de serre qui en découlent.

À l’origine de notre influence sur le climat on trouve principalement l’utilisation des énergies fossiles (pétrole, charbon et gaz naturel), utilisés tant comme carburant de nos véhicules thermiques que dans la production d’énergie. D’autres pratiques, comme la déforestation, aggravent considérablement la situation.

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En effet, la décennie 2011-2020 est plus chaude de 1,1 °C que le demi-siècle 1850-1900. Cela parait peu, mais il faut savoir qu’à l’échelle géologique, seuls 4°C séparent une période glaciaire d’une période interglaciaire. D’après les estimations des experts, les phénomènes d’origine naturelle (changements dans l'irradiation solaire et activité volcanique, notamment) n'ont contribué qu'à hauteur d’environ 2 % du réchauffement climatique récent, sur les 250 dernières années : le climat se réchauffe environ 10 fois plus vite que la moyenne des périodes de réchauffement précédentes, et ça, c’est presque entièrement grâce à nous 💪 😒.

Comment parvient-on à tirer de telles conclusions ?

À l’aide de logiciels complexes appelés « modèles climatiques », les scientifiques parviennent à mesurer les variations futures de la température moyenne du globe 🌍. De nombreuses données et fenêtres sur le passé (arbres très anciens, sédiments, glace des calottes glaciaires polaires…) leur permettent également de remonter des milliers d’années en arrière afin de déterminer quelles étaient les températures dans un passé lointain.

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C’est quoi, l‘effet de serre ?

Le rayonnement solaire qui parvient jusqu’à la Terre est en partie réfléchi par les nuages, la glace des calottes polaires, les glaciers, la banquise… Mais grâce à l’atmosphère qui l’entoure, composé en partie de gaz à effet de serre, l’air chauffé par le soleil est en partie retenu à la surface de notre planète, ce qui permet à la vie d’y prospérer. L’effet de serre n’est donc pas, en soi, un problème, mais un sérieux atout : sans lui, l’ensemble du rayonnement solaire non absorbé par la surface terrestre serait restitué dans l’espace, et les températures ne dépasseraient pas – 18°C, un peu frisquet, pour le coup 🥶 !

Le problème provient du fait que cet effet est amplifié en raison des importantes émissions de gaz à effet de serre qui découlent de nos activités, qui viennent perturber l’équilibre fragile du cycle du carbone : ces gaz, présents en plus grande quantité, retiennent plus de chaleur. Nous ajoutons, en fait, un effet de serre additionnel à l’effet de serre naturel, qui accélère dangereusement le réchauffement du climat 🌡️.

Quels sont les principaux gaz à effet de serre ?

🤓 Dans la grande famille des gaz à effet de serre, on trouve :

  • Le CO₂ (dioxyde de carbone), le principal, dont la durée de séjour dans l’atmosphère est d’environ 100 ans. En fait, toute combustion libère du CO₂, et comme l’humanité ADORE bruler un peu tout et n’importe quoi 🧨…
  • Le CH₄ (méthane), composante principale du gaz naturel, dont la durée de séjour dans l’atmosphère est de 12 ans. Son pouvoir de réchauffement est 30 fois supérieur à celui du CO₂ !
  • Le N₂O (protoxyde d’azote), qui persiste environ 120 ans dans l’atmosphère. Ce gaz hilarant n’a pourtant rien de bien comique, dans la mesure où son potentiel de réchauffement est environ 300 fois plus important que celui du CO₂ 😱.
  • Ou encore les gaz fluorés (CFC, HCFC, PFC, HFC, SF6, NF3), qui n’existent pas à l’état naturel, mais que l’Homme a créé tout seul, comme un grand.
  • Dans la mesure où la plupart de ces gaz ont un pouvoir de réchauffement supérieur à celui du CO₂, ils sont regroupés sous la désignation d’équivalent CO₂ (CO₂e).

Quelles conséquences ?

Le réchauffement climatique n’est pas seulement un problème pour les ours polaires. Si l’on en parle tant, c’est que ses conséquences sont loin d’être anodines, mais difficiles à appréhender pour le grand public qui a du mal à comprendre comment une augmentation globale d’un ou deux degrés des températures pourrait s’avérer aussi dommageable 🤔. Mais en fait, c’est comme un effet domino dont les conséquences, à terme, s’annoncent désastreuses : la Terre est un système complexe où tout est interdépendant.

En fait, la hausse des températures vient perturber l’ensemble des écosystèmes de la planète 🌿, écosystèmes dont nous dépendons intégralement pour la satisfaction de nos besoins élémentaires au quotidien : de la bonne santé de ces écosystèmes dépend notre survie, ni plus ni moins. Si les températures augmentent trop fort, et trop vite, on prive la biodiversité de toute possibilité de s’y adapter et on menace les équilibres fragiles des écosystèmes, jusqu’à l’effondrement.

Outre les conséquences purement économiques du réchauffement climatique, par là même, on compromet la sécurité alimentaire de l’humanité tout entière du fait d’une baisse prévisible des rendements agricoles, alors même que nous venons de dépasser le cap des 8 milliards de terriens, et que les prévisions projettent une croissance démographique qui devrait se poursuivre jusqu’à la fin du siècle 🚼. 👉 Combien d'humains la terre peut-elle supporter ?

Les forêts, alliées si précieuses contre les canicules et du fait de leur rôle de puit naturel de carbone, souffriront, elles aussi, de stress hydriques, et seront fragilisées par le développement d’agents pathogènes, d’une part, et par la multiplication des incendies, comme en attestent les terribles mégafeux de forêts de ces deux dernières années.

Les phénomènes météorologiques extrêmes verront leur fréquence et leur intensité s’amplifier : cyclones, canicules, sécheresses, typhons, inondations, orages, vagues de froid… Le climat se « durcit », le régime des précipitations sera de plus en plus impacté, et les mauvais choix humains en matière de gestion de l’eau viendront intensifier les problèmes naissants de pénurie de ressources en eau douce. 👉 Orages violents & réchauffement climatique, faut-il s'habituer ?

En parallèle, le niveau des océans augmente inexorablement, phénomène aggravé par la fonte des glaciers et de la banquise, et l’eau de mer, gorgée de CO₂, s’acidifie, ce qui compromet sa capacité à absorber ce dernier, à produire de l’oxygène, et qui met en péril la survie de nombreuses espèces marines. Comme celle des récifs coralliens, notamment, dont la valeur est inestimable en termes de biodiversité, qui offre à l’espèce humaine, entre autres, une ressource foisonnante en poissons🐠. 👉 Acidification des océans : un problème majeur, explications

Par ailleurs, l’élévation des températures rendra certaines régions inhospitalières, voire inhabitables, pour les populations. Les risques de migration massive, voire de guerres, sont donc réels. Dès demain, des centaines de millions de réfugiés climatiques viendront frapper à la porte des pays plus épargnés par l’augmentation des températures, seront-ils accueillis les bras ouverts ? Rien n’est moins sûr… Qu’adviendra-t-il, alors, de ces migrants environnementaux 😢?

De manière plus subsidiaire, le réchauffement du climat favorise l’extension des zones favorables aux espèces de moustiques, vectrices de maladies🦟, et induit une plus forte mortalité des populations les plus vulnérables.

Depuis quand parle-t-on de réchauffement climatique ?

Dès 1824, soit il y a près de deux siècles, certains scientifiques avaient déjà l’intuition que les activités humaines n’étaient pas sans impact sur le climat. Joseph Fourier en fait le premier l’hypothèse, suivi par Claude Pouillet et John Tyndall. Mais ce n’est qu’en 1890 que le phénomène sera quantifié de manière plus précise : Svante Arrhenius constate en effet que l’air, lorsqu’il est riche en gaz carbonique, retient davantage la chaleur du soleil. Thomas Chamberlin lui emboîte le pas : ils déduisent de leurs constatations qu’en doublant la quantité de CO₂ de l’atmosphère, on augmenterait la température de 5 degrés. Le terme d’« effet de serre » naît un peu plus tard, en 1901, de la plume de Gustaf Ekholm 🪶.

Évidemment, à l’époque, la communauté scientifique s’en moque bien, et leurs observations ne font pas grand bruit. On pensait alors que la nature pourrait s’auto-réguler, et on n’imaginait pas que les activités humaines se développeraient à ce point. Ce n’est que dans les années 40 que la thèse du réchauffement climatique est finalement validée par Gilbert Plass, mais il faudra attendre les années 60 pour que les scientifiques commencent réellement à s’en inquiéter. Le premier Sommet de la Terre, en 1971, évoque donc, pour la première fois, le phénomène.

Les travaux du GIEC, et son dernier rapport accablant

Les pays du G7 demanderont ensuite à l’ONU, dans les années 80, la création d’un groupe d’experts🤓 : le GIEC, Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat, qui verra le jour en 1988 et publiera son premier rapport en 1990. Des scientifiques (climatologues, géologues, océanologues, biologistes, économistes, ingénieurs…)  s’y sont réunis et publient régulièrement des rapports afin de mettre en lumière l’évolution de ce phénomène. C’est grâce à son travail que nos connaissances en matière de réchauffement climatique, tant sur ses causes que sur ses conséquences, ont ensuite été considérablement étoffées, jusqu’à son 6ème et dernier rapport, pas bien réjouissant, synthétisant les connaissances scientifiques acquises entre 2015 et 2021.

👉 Ce qu'il faut retenir du dernier rapport du GIEC

Les solutions : comment lutter contre le réchauffement climatique ?

Les experts du GIEC sont formels : seule une réduction immédiate et conséquente de nos émissions de gaz à effet de serre, conjuguée à des émissions négatives (c’est-à-dire à des techniques d’élimination du CO₂), seront de nature à limiter ce réchauffement. La restauration des forêts, notamment, en est l’un des piliers🌳. 👉 Les arbres pourraient réduire la mortalité liée aux canicules urbaines

Globalement, la responsabilité historique du secteur de l’énergie dans le réchauffement climatique ne fait aucun doute : on lui doit près des ¾ des émissions de CO₂ cumulées à l’échelle mondiale. L’humanité doit donc évoluer vers des sources d’énergie moins carbonées, et se tourner vers le renouvelable et le durable. D’importants efforts de sobriété devront également être mis en œuvre : à l’heure actuelle, les 10% les plus riches de la planète sont à l’origine d’environ 50 % des émissions mondiales de CO₂👏. La moitié la plus pauvre de l’humanité n’est responsable que de 12 % des émissions mondiales, alors que les pays en question sont injustement montrés du doigt pour leur importante croissance géographique. Nos modes de vie devront donc s’adapter aux capacités de la planète, et non l’inverse.

👉 Quelles sont les 5 causes principales du réchauffement climatique ?

C’est ainsi que l’UE s’est fixée pour objectif une réduction d'au moins 55 % des émissions d'ici à 2030 et la neutralité carbone d'ici à 2050 : c’est le pacte vert européen💪. Mais les experts du GIEC sont formels dans leur dernier rapport : les engagements actuels ne permettront pas de contenir le réchauffement à 1,5°C. Pourtant les efforts payent, comme en atteste la baisse inédite des émissions mondiales du CO₂ au cours de la pandémie de Covid 19.

👉 Est-il encore possible de stopper le réchauffement climatique ?

De nombreux scientifiques, ingénieurs et experts planchent aussi sur différentes solutions technologiques qui pourraient venir en appui des efforts de sobriété et de la décarbonation des sources énergétiques, comme la capture directe de CO₂ dans l’air, ou encore la géoingénierie solaire.

👉 Aspirer le CO2 pour lutter contre le réchauffement climatique : le plan des Etats-Unis

A retenir

La dernière décennie 2011-2020 a été la plus chaude jamais enregistrée, et chacune des décennies précédentes a été plus chaude qu'aucune autre décennie depuis 1850. Le réchauffement climatique progresse, c’est un fait, et les projections des experts du GIEC sont accablantes : rien qu’en France, d’ici 2100, l’augmentation devrait atteindre 3,8 °C par rapport au début du XXᵉ siècle, et ce dans un scénario pourtant modéré d’émissions. Une transition énergétique vers des solutions moins carbonées doit donc s’associer à des efforts de sobriété, à une évolution des modes de vie (notamment pour la part la plus riche de la population mondiale) et à des mesures d’élimination du CO₂. D’immenses défis d’adaptation nous attendent. Nous n’avons qu’une Terre, nous en souviendrons-nous à temps ?

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Sources : youmatter.world, reporterre.net, geo.fr, nationalgeographic.fr, europarl.europa.eu, un.org, lejournal.cnrs.fr

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